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Travail en groupe sur les rêves nocturnes,
une fois par mois avec les Atelier-Rêves

 


La psychothérapie Jungienne

une thérapie de l'inconscient par les rêves


L'homme moderne a oublié la nature et les profondeurs de son esprit, il a oublié qui il est et ce qui fonde son existence.

La psychothérapie des profondeurs, voie re-découverte et transmise par Carl Gustav Jung, est le moyen pour se réconcilier avec soi-même et accéder ainsi à un véritable bien-être.

Vous portez en vous à la fois le problème et sa solution. Les symptômes dont vous voulez vous débarrasser ont un sens. Celui-ci va se révéler au cours du travail que nous ferons ensemble.
Que cachez-vous aux autres ? C'est là que se trouve la nouvelle lumière qui va éclairer votre vie. Si vous continuez à fermer la porte à toutes vos erreurs, la vérité restera dehors.

La rencontre du réel et de l'imaginaire nous fait peur et nous fascine. Tout ce que l'homme crée est issu de son imagination. Le doute vient mettre à l'épreuve cette capacité, et nous pousse à chercher des certitudes.





On se rend compte que l'inconscient complète et compense la vie consciente, ce qui fait qu'il suffit d'être à l'écoute de son inconscient pour retrouver l'équilibre. L'idée est simple, mais nécessite de la réaliser concrètement dans son esprit et dans son corps. De plus, cet équilibre est dynamique. Chaque moment est différent et l'on doit y adhérer pour rester vivant... c'est-à-dire accepter de mourir à chaque instant. C'est un travail de maturation, sur la durée.

Un moyen privilégié pour comprendre son propre univers intérieur est l'observation active des rêves. Cette attention vigilante permet une maturation de l'inconscient. Les symboles qui apparaissent au fur et à mesure de sa progression renseignent et rassurent le rêveur sur l'état de son évolution.

Ce processus se poursuit sous l'impulsion d'une énergie naturelle, mystérieuse, et conduit l'être vers son individualité. Quelque chose qui le rend seul et unique et en même temps, paradoxalement, en rapport étroit avec les autres.

On ne peut commencer à considérer l'autre pour ce qu'il est qu'à partir du moment où on l'on se connaît soi-même.